La Défarde
Lé défarde est sans doute le plat phare de la ville de Crest ! Originellement un plat de pauvres, elle permettait d’utiliser les morceaux des abats, et de ne pas perdre des morceaux de viandes !
Difficile de venir sur Crest sans entendre parler de leur fameuse défarde… Pilier de la gastronomie crestoise et même de la Drôme, elle a un rôle culturelle et même fédérateur ! En effet, depuis 1983, à l’initiative du maire en poste, Maurice Rozier, un concours de la meilleure défarde est organisé, avec l’appui de la Confrérie de la défarde, à la mi-septembre, pour la fête de saint Ferréol, saint patron de Crest.
La défarde est initialement considérée comme un « plat de pauvres », à une époque où l’élevage du mouton était répandu dans la région du Diois. Afin de ne rien perdre des morceaux de viande, alors rare, elle permettait l’utilisation des abats, peu prisés d’autres catégories de la population1.
Les Ingrédients
La défarde contient des panses et des pieds d’agneau, mouillés dans du vin blanc et accompagnés de carottes, de tomates, d’oignons, d’ail. On rajoute des clous de girofle, un bouquet garni et une persillade2
Mais comment la faire ?
- Mettez le cochon, faites le revenir jusqu’à ce qu’il soit bien rose…
- Coupez les oignons…
- bakaahahahah
- hdhdhdhdgfgf
- dhhdhdhdhhdd
- Faites mijoter pendant 360 minutes et c’est prêt à être servi
source: Wikipédia
photo : Jean Louis Brun, Membre fondateur de la confrérie de la Défarde Crestoise